samedi, février 25, 2012

3 Templates Joomla 2.5 gratuits

Il est difficile de trouver encore des templates Joomla 2.5 gratuits à cause de l’évolution rapide du CMS sans oublier qu’il est plus complexe de créer des templates Joomla. Je vous en propose quelques uns que vous pouvez trouver sur JoomlaShack qui est un site dédiés aux extensions et aux templates Joomla 2.5. Notez qu’il faut s’inscrire gratuitement sur le site pour pouvoir les télécharger.

Template Joomla 2.5 gratuit Studio – Un template Joomla très simple avec de nombreuses options pour le personnaliser. Idéal quand on veut commencer avec Joomla 2.5

Template Joomla 2.5 gratuit Recycle – Assez complet, mais les couleurs marrons laissent à désirer. Cela reste un bon template joomla pour des sites généralistes. Le menu horizontal est plutôt bien fait.

Template Joomla 2.5 gratuit Jubilee – Ce template Joomla a été crée lors du jubilée de Joomla 1.7 et il a été simplement convertit pour Joomla 2.5. Le design aux teintes sombres n’est pas toujours de belles facture, mais cela reste une alternative intéressante si on ne veut pas débourser une fortune pour des templates payants.

L’un des inconvénients des templates Joomla 2.5 gratuits de JoomlaShack est qu’ils utilisent beaucoup de JavaScript pour des effets qui surchargent inutilement le serveur. Il faudra des connaissances en JavaScript pour adapter ses thèmes à ses besoins.

 

Installer Drupal pas à pas

 

On peut installer Drupal 7 en quelques étapes à condition que son hébergeur web possède les composants nécessaires. Drupal 7 nécessite beaucoup de ressources, notamment de la mémoire en PHP, donc, on va se contenter d’installer Drupal en version minimale dans un serveur local. Commencez par télécharger Drupal . Ensuite, décompressez cette archive de Drupal dans le répertoire web de votre serveur local (généralement, www ou htdocs). Une fois que vous avez décompressé l’archive, allez dans PhpMyAdmin et créez une base de donnée pour Drupal. Ensuite, lancez votre navigateur et allez à l’adresse : http://localhost/drupal (si vous avez mis les fichiers dans un répertoire nommé drupal de votre serveur web). La fenêtre suivante doit apparaitre :

installer-drupal_1

Choisissez l’installation minimale, car le serveur Xampplite ne supportera pas l’installation standard. Cependant, l’installation minimale peut convenir à créer un site tout à fait fonctionnel. Dans la fenêtre suivante, nous avons le choix de deux langues (Anglais et Français).

installer-drupal_2

Ensuite, nous devons configurer la base de donnée pour installer Drupal. Dans un serveur local, le nom de l’utilisateur est root et fournissez le nom de la base de donnée que vous avez crée.

installer-drupal_3

En installant Drupal, je me suis aperçu qu’il y a des erreurs quand on choisit le Français dans le choix de la langue. Si cela vous arrive, recommencez l’installation en choisissant l’Anglais. Maintenant, on passe à la configuration pour installer Drupal. Dans cette partie, vous fournissez le nom du site, l’adresse mail de l’admin, le pseudo de ce dernier et son mot de passe.

installer-drupal_4

Fournissez une adresse mail valide sinon cela ne fonctionnera pas. Enfin, vous verrez le message que vous avez réussi à installer Drupal. Vous pouvez visiter la partie publique de Drupal ou aller à l’administration.

installer-drupal_5installer-drupal_6

L’utilisation de Drupal est complexe et franchement, c’est loin d’être mon CMS de prédilection. Cependant, il existe une documentation complète pour dompter la bête. Je vous recommande notamment cet e-book gratuit en français sur Drupal qui est disponible sur le Framabook.

 

 

Google Panda, un an plus tard

 

Février 2012 est un mois important pour les référenceurs, car c’est le premier anniversaire de Google Panda. En 12 mois, Google Panda a prétendu nettoyer le web des spammeurs et des fermes de contenu, mais force est de constater que ce sont les webmestres indépendants qui ont payés le prix fort. On ne compte plus le nombre de sites qui ont fait faillite parce qu’ils n’avaient pas les moyens de combattre Google Panda. Le secteur de la rédaction web a aussi été touché avec les conséquences que cela implique.

Pourtant, les vraies fermes de contenus ont survécus sans aucun problème et même qu’elles ont étés favorisées par Google Panda. Comment Google peut prétendre combattre les articles de mauvaise qualité tandis que son SERP est toujours pollué par les forums qui n’apportent aucune réponse. Dans la même optique, Google Panda a favorisé ses propres services tels que YouTube ou Google Offers.

 

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jeudi, février 23, 2012

Tester la vitesse de son site pour l’optimiser

 

Tester la vitesse de son site est une étape importante dans le référencement de son site puisque c’est l’un des critères de Google. Bien sûr, il existe de nombreux sites qui peuvent le faire, mais vous n’en avez besoin si vous utilisez le navigateur Google Chrome pour tester la vitesse d’un site. Google Chrome possède de nombreux outils développement à la manière du module Web Developer de Firefox et ils sont intégrés par défaut dans le navigateur. Pour les lancer, il suffit de taper sur la touche F12 pour afficher la fenêtre suivante :

tester-vitesse-site_1

Ensuite, cliquez sur l’onglet Network et rechargez la page pour laquelle vous voulez tester la vitesse et les résultats apparaitront sous forme de quantité de données et de durée :

tester-vitesse-site_2

Ces tests de vitesse pour votre site incluent toutes les pages telles que CSS, JavaScript, HTML, etc. Vous avez le nombre d’octets d’une page et sa durée de chargement. Notez que ces mesures ne sont pas précises à 100 % puisque cela dépend de votre vitesse de connexion, mais cela offre quand une bonne idée de la vitesse du site. Faites défiler les résultats et vous verrez la quantité total de données pour tout le site.

 

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Les balises rel=author et rel=publisher, leur rôles et comment les utiliser

Les balises rel=author et rel=publisher permettent d’authentifier son contenu par Google. Dans les techniques SEO modernes, ce type d’option deviendra indispensable à cause de la socialisation des résultats par Google. Google Plus propose de créer des pages pour des sites ou des produits à la manière des pages Facebook. Ainsi, les balises rel=author et rel=publisher permettent de lier une page Google Plus à votre site. La balise rel=author permet d’authentifier une page ou un article individuel avec un auteur possédant un profil Google Plus tandis que la balise rel=publisher permet d’authentifier le site en entier.

La manière la plus facile d’intégrer à la fois les balises rel=author et rel=publisher sur son site est d’utiliser le badge de Google+. Vous pouvez l’ajouter sur n’importe quel endroit du site (il faut qu’il soit présent sur toutes les pages) et vous devez lier votre site à votre page Google Plus et Google fera automatiquement le lien entre les deux. Si vous ne pouvez pas installer un badge Google Plus, vous pouvez ajouter un lien sous la forme :

<a rel=”publisher” href=”adresse de votre page Google Plus”>Retrouvez-nous sur Google Plus</a>

et

<a rel=”author” href=”adresse de votre profil Google Plus”>Mon profil Google</a>

sur les différentes pages de votre site. Après un certain temps, Google affichera des résultats avec la photo de votre profil ou de votre page Google Plus dans ses résultats. Cependant, il semble que cela ne soit effectif que pour Google en anglais tandis que Google France tarde à se mettre en place. Les balises rel=author et rel=publisher deviendront indispensables pour tout référenceur qui se respecte dans les années à venir et donc, il vaut mieux les connaitre et les utiliser dès à présent.

Plus d’informations sur les balises rel=author et rel=publisher de Google

 

mercredi, février 22, 2012

5 fausses raisons de protéger sa vie privée sur le web avec Chrome

 

Si vous utilisez la navigation privée de Google Chrome (Raccourci Ctrl+Shift+N), la page qui s’affiche vous donne les raisons d’utiliser le mode privé de navigation :

  • aux sites Web qui recueillent ou partagent des informations vous concernant ;
  • aux fournisseurs de services Internet ou aux employeurs qui surveillent les pages auxquelles vous accédez ;
  • aux logiciels malveillants qui permettent de surveiller vos frappes en échange d'émoticônes gratuits ;
  • aux agents secrets qui vous surveillent ;
  • aux gens qui se tiennent debout derrière vous.

Aux sites Web qui nous surveillent ? Tels que Facebook, Google, Amazon, Yahoo ? Aux Agents secrets ? Pourquoi un agent secret se préoccuperait de ce que j’achète sur le web. Aux Gens debout derrière vous ? Comment cela les empêcherait-il de voir ce que je lis ou écris sur ma machine ? La Navigation privée de Google Chrome n’est pas efficace puisque Google peut proposer des suggestions sur nos requêtes et donc, il peut anticiper nos recherches précédentes. Où est le mode privée dans tout ça ? Le mode privé ne serait qu’un test pour Google pour connaitre les personnes qui sont intéressés par l’anonymat pour les intégrer dans une base de donnée parallèle en les marquant comme des utilisateurs sensibles.

mardi, février 21, 2012

Comment accéder à phpMyAdmin

 

On peut accéder à phpMyAdmin avec le cPanel de son hébergeur web. PhpMyAdmin est une interface graphique qui permet de gérer des bases de données MySQL et elle est disponible sur tous les hébergeurs webs. En effet, une base de donnée MySQL nécessite la connaissance du langage SQL qui n’est pas à la portée de tous les webmestres et de ce fait, on a crée PhpMyAdmin pour qu’on puisse créer des bases de données MySQL très facilement.

Quand on s’inscrit sur un hébergeur Web, celui-ci vous fournit différentes informations, notamment l’adresse URL de votre cPanel. Ce dernier regroupe tous les services et les logiciels de votre abonnement d’hébergement web. Ainsi, un cPanel typique ressemble au suivant :

 

acceder-phpmyadmin_1

Tous les services sont groupés dans des catégories tels que Fichiers, Domaines, Base de donnée, etc. Regardez dans la section Base de donnée ou Database pour trouver PhpMyAdmin :

acceder-phpmyadmin_2 

Cliquez dessus pour lancer PhpMyAdmin :

acceder-phpmyadmin_3

Dans cet écran, vous devez fournir vos informations de connexion à la base de donnée. Attention, il ne faut pas le confondre avec les identifiants du cPanel qui peuvent être différents. Ces informations de connexions à la base de donnée MySQL vous seront fournis par votre hébergeur web. Ensuite, vous pouvez utiliser l’interface de PhpMyAdmin :

acceder-phpmyadmin_4

Dans l’interface de PhpMyAdmin, vous avez des options pour parcourir vos base de données existantes, lancer des requêtes SQL, exporter vos base de données MySQL. Certains hébergeurs web ne permettent pas de créer une base de donnée depuis PhpMyAdmin, mais au lieu, il vous fournit un assistant de création de base de donnée dans votre cPanel. Dans ce dernier, vous pouvez chercher un service qui s’appelle Database Wizard ou quelque chose de similaire et il sera dans la section Database du cPanel.

Notez que PhpMyAdmin est un utilitaire très puissant puisqu’il peut affecter directement votre base de donnée, aussi une certaine compétence est nécessaire avant de l’utiliser. Si vous voulez juste créer des bases de données MySQL, contentez-vous des assistants qui sont offerts par le cPanel.

 

lundi, février 20, 2012

Google Drive, comment bien l’utiliser

 

Google Drive sera bientôt disponible et son utilisation sera un jeu d’enfant. Google Drive est un simple service de stockage en ligne à la manière d’un Dropbox ou d’iCloud, mais la différence est évidemment que ce sera un très bon produit puisque que c’est Google qui le propose. On aura trois avantage à utiliser Google Drive, la simplicité de l’interface, des prix compétitifs et un espace gratuit qui écrasera tous ses concurrents. On murmure que Google Drive offrira 5 Go d’espace gratuit ce qui est le double de tous les concurrents sur le marché. Les options de partage seront facilitées et on pourra utiliser de simples liens pour partager ses fichiers avec ses amis. Il va de soi que Google Drive va intégrer Google Plus et tous les services de Google. On pourrait même penser à une fusion entre Picasa et Google Drive puisque les deux obéissent au même principe.

Mais de nombreuses personnes sont sceptiques sur Google Drive, car de nombreux concurrents existent sur le marché et ils se taillent la part du lion. Mais en plus de ça, il y a le problème de la vie privée, car cela signifie qu’on va mettre à disposition de Google tous ses fichiers et quand on sait que Google a commis de nombreuses erreurs sur ce domaine, on peut se demander sur la fiabilité des garanties qu’il offre. Google Drive risque de faire peur à de nombreux utilisateurs et puis, je ne comprendrais jamais l’intérêt de ce type de service à part pour quelque fichiers occasionnels.  On est loin d’un monde ultra-connecté où tout le monde possède un ordinateur connecté en permanence à internet. Google Drive a du potentiel, mais cela signifie une intrusion assez poussée dans la vie privée de l’utilisateur. On donne déjà trop à Google alors est-ce qu’on doit ajouter tous les fichiers sur notre ordinateur. Il va de soi qu’on devra posséder un compte Google pour utiliser Google Drive et si ce compte Google est supprimé pour une raison ou une autre, qu’est-ce qui se passe ? On doit toujours être très vigilant vis à vis de ce type de service.

 

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Google espionne les utilisateurs de Safari

 

Google est de nouveau pointé du doigt parce qu’il aurait espionné les utilisateurs du navigateur Safari. En effet, il aurait utilisé un cookie pour connaitre les habitudes des internautes à travers les modules de Like et autres boutons de partages des réseaux sociaux. Safari est le seul navigateur qui n’acceptent pas les cookies tiers, mais il possède de nombreux modules internes. Les utilisateurs de Safari téléchargeaient un certain cookie avec les boutons de partage et la recherche personnalisée de Google et ce dernier pouvait leur proposer des publicités bien ciblées.

Google s’est défendu que ses données ne permettaient pas d’identifier les utilisateurs, mais uniquement pour améliorer la navigation de l’utilisateur sur les produits de Google.

 

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Kim Dotcom, la victime des géants du web

 

Kim Dotcom continue à s’enfoncer davantage dans les poursuites judiciaires, car le FBI vient d’ajouter de nouvelles charges avec des preuves qui feraient ricaner n’importe qui. Des fichiers sur son ordinateur prouveraient une fortune de près de 150 millions de dollars, mais Kim Dotcom estime que c’est une machination pure et simple parce que Megaupload envisagait de lancer un service concurrent de stockage en ligne ce qui n’a pas plu à Apple et Cie. Kim Dotcom, Megaupload, RapidShare et les autres font partie de ce qu’on appelle les Cyberlockers et on peut dire qu’ils monétisent très bien leur service. Mais ce n’est pas illégal puisque Megaupload ne peut pas vérifier tous les fichiers qui transitent par ses serveurs même si la plupart sont illégaux.

Le FBI a surtout voulu faire un exemple que personne n’est à l’abri même si les serveurs sont à l’autre bout du monde. Ce qui est intéressant est que le FBI peut uniquement intervenir aux USA, mais les serveurs et les registrars de Megaupload sont hébergés ailleurs. On se demande la légitimité de la législation et que c’est un prémice de ce que nous réserve l’avenir.

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dimanche, février 19, 2012

Les nouveautés de VLC 2.0

 

VLC 2.0 st disponible alias TwoFlowers et il apporte une pléthore de nouveautés dont le support des derniers formats en HD et un meilleur rendu sur les tous-titres. Toutes les principales nouveautés de VLC 2.0 :

La vidéo dans VLC 2.0 :

  • Les modules et les Cores de vidéo entièrement réécrits permettant la fusion des sous-titres dans le GPU
  • Le support Shader dans la sortie OpenGL pour la conversion des espaces de couleurs incluant ceux en 10 bits.
  • Une nouvelle sortie vidéo pour Windows 7, Android, iOS et OS/2
  • De nouveaux filtres anti-bruit et anti-grain
  • De nouveaux filtres d’entrelacement incluant un algorithme Inverse Telecine

 

Les formats de VLC 2.0 :

  • Décodage Multi-tread pour les formats H.264, MPEG-4/Xvid et WebM
  • Le support pour les codecs en 10, les images WMV et d’autres codecs
  • Un support réécrit pour les images jpeg, png, xfc et bmp
  • Des changements importants dans le support de RealVideo et Real Format
  • Le support matériel pour le décodage des cartes CrystalHD et Android OpenMAX

 

L’audio dans VLC 2.0

  • De nouveaux réechantillonneurs pour une audio de qualité supérieure
  • De nouveaux filtres pour la compression et karaoke
  • Simplification du Core Audio pour un traitement plus rapide
  • Nouveaux sorties audio pour iOS et OS/2

 

Entrée et périphériques pour VLC 2.0 :

  1. Le support expérimental pour les disques Bluray (les menus sont désactivés avec ce support pour le moment et les librairies et les clés AACS et BD+ DRM ne sont pas fournies pour des raisons légales).
  2. Le support pour la capture SDI et les périphériques QTKit
  3. Le support pour les nouveaux protocoles adaptatifs de Streaming tels que HLS et DASH

 

Vous pouvez télécharger VLC 2.0 dès maintenant et il est disponible pour Windows et Mac. La version pour Linux est à venir. Comment d’habitude, VLC 2.0 supporte la plupart des formats audios et vidéos et il bénéficie toujours d’une stabilité exemplaire. Le support total de la HD en fait le meilleur lecteur multimédia du monde.

 

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jeudi, février 16, 2012

TextMaster, la meilleure plateforme de rédaction web

 

Je continue ma recherche de plateforme de rédaction web et l’un des commentaires de ce blog a parlé de deux d’entre elles, TextMaster et TextBroker. Sur ces deux plateformes, il faut passer des tests de rédaction web et malheureusement, je n’ai été reçu que sur TextMaster (je retenterais ma chance sur TextBroker). Le principal avantage de TextMaster est qu’il propose différentes prestations telles que Rédacteur Web, Traducteur et Correcteur. Pour le moment, je ne suis reçu que pour Rédacteur Web avec le niveau Bronze (le plus bas niveau). Dès que vous êtes acceptés, de nombreux sujets sont disponibles selon les préférences thématiques que vous avez choisis dans votre profil. Et c’est une bonne chose pour éviter d’écrire sur des sujets qu’on ne connait pas.

Concernant les prix de rédaction web de TextMaster, c’est plutôt décevant, notamment pour les débutants sur cette plateforme, car les tarifs des articles commencent à 0,60 euros pour 150 mots et cela peut aller jusqu’à 1,50 euros selon la complexité de l’article. C’est très en dessous de la moyenne des prix de rédaction web, mais c’est compréhensible puisque c’est le plus bas niveau. Sans doute que les prix montent en fonction de ses performances et de sa production.

L’interface de TextMaster est vraiment bien faite et les directives des clients sont très claires. Dès que vous sélectionnez un article, un chrono se déclenche et cela va de 1h30 jusqu’à 2h30 et c’est acceptable puisqu’au début, la majorité des textes ne font pas plus de 300 mots. TextMaster place la barre haute concernant la qualité des textes si on postule pour Correcteur ou Traducteur, mais cela garantit aussi des textes de qualité et cela permet au rédacteurs web de s’améliorer. Si on devient un très bon rédacteur Web, on peut contacter directement les clients, mais je doute de l’efficacité de cette option. Quand vous êtes un rédacteur web de niveau Bronze, vous avez beaucoup de sujets pour adulte tels que les sites de rencontre ou des vidéos pour adulte. Leur prix est vraiment minable, mais c’est bien pour s’entrainer.

TextMaster laisse une très bonne impression que ce soit pour les clients ou leurs auteurs. Tout le monde peut postuler pour un emploi de rédacteur web si on a un minimum de connaissance sur l’écriture web. On doit préciser qu’on ne fera pas de fortune et qu’on ne peut pas utiliser ce type de plateforme pour gagner sa vie avec au vu de la faiblesse des prix. Mais cela permet d’arrondir ses fins de mois. J’aurais vraiment apprécié que TextMaster propose le virement bancaire international dans ses modes de paiement, mais il est vrai que cela revient cher sur les frais de virement. Le seul mode de paiement disponible est Paypal et il faut atteindre 50 euros pour déclencher le paiement.

 

dimanche, février 12, 2012

Adsense dans des articles Blogger entre le titre et le corps de la page

 

Comment ajouter des annonces Adsense dans les articles Blogger entre le titre et le corps de la page à la manière d’un blog Wordpress. Adsense est utilisé par la majorité des blogueurs et des webmestres et l’un des meilleurs emplacements pour les publicités est avant l’article sous le titre. Le problème est que Blogger ne possède aucune option qui permettent de le faire. Adsense dans Blogger se contente d’afficher les annonces entre les articles ou sur la Sidebar, mais c’est impossible d’en mettre sur les articles individuels. Mais on peut ajouter Adsense dans les articles de Blogger en les insérant directement dans le code HTML de la page.

 

Insérer Adsense dans les articles de Blogger pour des Templates Blogger standard

Commencez par vous procurer le code d’une annonce Adsense. Si vous le mettez dans l’état, Blogger ne pourra pas interpréter certains caractères spéciaux tels que <, > ou . De ce fait, Adsense ne s’affichera pas, aussi il faut convertir le code Adsense dans un format lisible en HTML.

Utilisez cet outil de conversion HTML pour rendre le code lisible.

Connectez-vous dans votre Tableau de Bord, cliquez sur Présentation et Modifier le code HTML. Cochez l’option Développer les Gadgets de Blogger.

Cherchez la ligne suivante :

<data:post.body/>

Le code entier doit ressembler à :

    <div class='post-body entry-content' expr:id='&quot;post-body-&quot; + data:post.id'>

Code Adsense

      <data:post.body/>

 

Et vous devez mettre le code Adsense avant cette ligne  data:post.body/ pour que les annonces apparaissent juste après le titre et avant le corps de la page. Enregistrez les modifications et testez pour voir si cela fonctionne. On doit préciser que les annonces Adsense apparaitront aussi sur la page d’accueil entre les articles.

Insérer Adsense dans les articles de Blogger pour des Templates Blogger personnalisés

La première méthode fonctionne pour des Templates standard (ceux qui sont fournis par Blogger), mais cela ne marche pas si vous utilisez un Template Blogger Personnalisé. Dans ce cas, les étapes sont similaires, à savoir, cherchez la ligne data:post.body/ et trouvez le code suivant :

    <div class='post-body entry-content'>

<div style='clear:both;'/>
<b:if cond='data:blog.pageType != &quot;static_page&quot;'>

Code Adsense

<b:if cond='data:blog.pageType != &quot;item&quot;'>

<div expr:id='&quot;summary&quot; + data:post.id'>

<data:post.body/></div>

 

Vous devez mettre le code Adsense après la troisième ligne juste après la ligne b:if cond='data:blog.pageType != &quot;static_page&quot;'. En général, c’est la première occurrence de data:post.body/ dans le Template. Enregistrez les modifications et testez le résultat.

Notez que cela ne marche que pour les Templates avec des options de modifications HTML et donc, c’est impossible sur un Template Blogger dynamique. Chaque blog étant différent, il sera nécessaire de tester avec des formats et des couleurs différents pour que vous obteniez de bons résultats.

 

samedi, février 11, 2012

Independent Publishing, une véritable arnaque de la rédaction web

 

J’ai parlé d’Independent Publishing et après quelques jours de test, je peux dire que c’est une véritable arnaque de la rédaction web ! La première chose est qu’on n’a pas d’idée précise sur les textes et que depuis une semaine, je n’ai pas vu le moindre sujet disponible. Independent Publishing se targe d’avoir des rédacteurs Web sur les 5 continents, mais ils ne font que des virements bancaires pour les comptes France. Paypal est disponible, mais cela n’inclut pas tous les pays. Des personnes payées laissent des centaines de commentaire pour vanter les mérites de la plateforme sur les blogs qui parlent de rédaction web, et je dois avouer que je suis tombé dans le panneau. Je pense qu’Independent Publishing n’a aucun client et qu’ils font le buzz exprès pour en attirer.

Vous êtes rédacteur Web et vous voulez tentez l’aventure ? Surtout, ne rejoignez pas Independant Publishing qui est l’arnaque type de ce secteur, à savoir, on vous promet des tonnes de trucs avec des tarifs juteux, mais il n’y a rien en dessous. C’est à cause des plateformes telles qu’Independent Publishing que le secteur de la rédaction web possède une telle mauvaise réputation. Les textes sont de mauvaise qualité sans oublier la copie systématique, les plateformes ne paient pas sauf dans des conditions contraignantes et en général, le rédacteur web est le dindon de la farce.

 

vendredi, février 03, 2012

Independant Publishing, une bonne plateforme de rédaction web

 

L.a fermeture de Wikio Experts a déçu de nombreux rédacteurs web, car c’était une initiative intéressante. Je reçois de nombreux mails me vantant les mérites d’Independant Publishing, une nouvelle plateforme dédié à la rédaction web. Les prix ne sont pas faramineux, mais on peut quand même gagner un revenu intéressant si on prend le temps de d’appliquer. Les tarifs d’Independant Publishing sont les suivants :

  • Rédacteur Standard : 5 euros (texte de 400 mots)
  • Rédacteur Or : 8 euros (texte de 400 mots)
  • Rédacteur Platine : 16 euros (texte de 400 mots)

A première vue, les tarifs sont supérieurs à tout ce que j’ai pu trouver jusqu’ici, mais je n’ai pas encore eu l’occasion de tester la plateforme à fond. Peut-être qu’un rédacteur web avec une certaine qualité peut espérer atteindre le niveau Or en quelques semaines, mais j’ai des doutes sur le niveau Platine qui offre le meilleur prix. Il y a également un niveau supérieur, mais on devient un correcteur d’Independant Publishing sur la base de 1,6 euros pour 400 mots (une misère parce que j’ai déjà expérimenté la correction web et c’est parfois plus difficile que de réécrire le texte en entier !).

Un inconvénient d’Independant Publishing est qu’il faut travailler à des heures fixes (8h du matin ou 8h du soir) et j’ignore le nombre de texte qu’il faut faire par jour. Le paiement se fait par virement bancaire dès qu’on atteint un seuil de 10 euros. Mais qu’en est-il des virements en dehors de la France ? Est-ce que c’est le rédacteur web qui doit payer les commissions ou la plateforme s’en charge si on atteint un revenu important tous les mois ?